Duke If music be the food of love, play on, Give me excess of it ; that, surfeiting, The appetite may sicken, and so die... That strain again ! it had a dying fall : O, it came o'er my ear like the sweet sound That breathes upon a bank of violets ; Stealing and giving odour... Le duc Si la musique est la pâture de l'amour, Jouez encore, donnez-m'en jusqu'à l'excès En sorte que ma faim gavée languisse et meure. Ce passage à nouveau ! pour son rythme mourant ; Oh ! il m'a flatté l'oreille comme un zéphyr Dont l'haleine, en frôlant un lit de violettes, Dérobe et donne du parfum... Suffit ! Assez ! Sa douceur de tout à l'heure s'en est allée. Hélas, esprit d'amour, quelle énergie vorace ! Pour la capacité, tu es comme la mer : Rien ne débouche en toi de précieux ni de rare Qu'une minute n'avilisse et ne dégrade. Amoureuse passion, de mirages pétrie, Non, tu n'as point d'égale en fantasmagorie.