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Titre : | A QUOI PENSENT LES CHINOIS EN REGARDANT MONA LISA? |
Auteurs : | Christine Cayol |
Editeur : | [S.l.] : Tallandier, 2012 |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-84734-991-7 |
Format : | 262 / 21 |
Index. décimale : | 700 (Arts) |
Mots-clés: | Chinois (peuple) ; Peinture Occidentale ; Interprétation |
A quoi pensent les Chinois lorsqu'ils découvrent au Louvre ce que nous considérons comme nos chefs d'?uvre ? Qu'y voient-ils ? Que pensent-ils de nous ? De notre culture ? Ces ?uvres occidentales occupent tellement notre espace visuel et nourrissent notre perception du monde d'une façon si prégnante, que nous les considérons comme nos ?uvres, nous qui sommes habités par elles, sans même les avoir vues, et qui les avons si souvent regardées que nous ne les voyons plus.
Partant de ce constat, l'auteure propose à un intellectuel de culture et de sensibilité différente, un chinois, d'appréhender des ?uvres phares de l'art occidental. Ainsi la peinture de la religion à travers Giotto, Fra-Angelico, Botticelli, de la société par Van Eyck Holbein, Metsys, Dürer, de la psychologie humaine à travers Le Caravage, Vinci, Rubens ou Picasso, sont examinés avec un regard neuf qui les irrigue d'un sens plus large. En prenant comme compagnons de voyage ces tableaux de la peinture occidentale, Christine Cayol et le professeur Wu interrogent leurs représentations du monde respectives, en particulier les notions de liberté, de pouvoir, de transcendance, des femmes, du rôle de l'artiste et, bien sûr d'expérience esthétique. L'art devient prétexte pour jeter des passerelles entre deux civilisations qui se méconnaissent et pour confronter de Paris à Pékin deux modes de pensées.
Un dialogue inédit pour partager les visions philosophiques, éthiques, politiques de deux civilisations et cultures qui se méconnaissent et questionner ensemble ce qui s'appelle la société.
Philosophe de formation, auteur au Seuil de Je suis catholique et j'ai mal (2006), Christine Cayol réside depuis 2005 à Pékin, avec son mari, responsable d'EDF en Chine. Soutenu par des personnalités comme Patrick de Carolis, Jean-Pierre Raffarin ou le groupe financier Edmond de Rothschild, elle y a créé en décembre 2010, l'association Yishu 8, une villa Médicis chinoise, qui accueille des artistes à Pékin, organise des manifestations artistiques, et invite des artistes chinois à s'immerger dans la culture française.
Elle a rencontré Monsieur Wu, psychanalyste et professeur de Français à l'université de Wuhan, ville de dix millions d'habitants située au centre de la Chine.
Partant de ce constat, l'auteure propose à un intellectuel de culture et de sensibilité différente, un chinois, d'appréhender des ?uvres phares de l'art occidental. Ainsi la peinture de la religion à travers Giotto, Fra-Angelico, Botticelli, de la société par Van Eyck Holbein, Metsys, Dürer, de la psychologie humaine à travers Le Caravage, Vinci, Rubens ou Picasso, sont examinés avec un regard neuf qui les irrigue d'un sens plus large. En prenant comme compagnons de voyage ces tableaux de la peinture occidentale, Christine Cayol et le professeur Wu interrogent leurs représentations du monde respectives, en particulier les notions de liberté, de pouvoir, de transcendance, des femmes, du rôle de l'artiste et, bien sûr d'expérience esthétique. L'art devient prétexte pour jeter des passerelles entre deux civilisations qui se méconnaissent et pour confronter de Paris à Pékin deux modes de pensées.
Un dialogue inédit pour partager les visions philosophiques, éthiques, politiques de deux civilisations et cultures qui se méconnaissent et questionner ensemble ce qui s'appelle la société.
Philosophe de formation, auteur au Seuil de Je suis catholique et j'ai mal (2006), Christine Cayol réside depuis 2005 à Pékin, avec son mari, responsable d'EDF en Chine. Soutenu par des personnalités comme Patrick de Carolis, Jean-Pierre Raffarin ou le groupe financier Edmond de Rothschild, elle y a créé en décembre 2010, l'association Yishu 8, une villa Médicis chinoise, qui accueille des artistes à Pékin, organise des manifestations artistiques, et invite des artistes chinois à s'immerger dans la culture française.
Elle a rencontré Monsieur Wu, psychanalyste et professeur de Français à l'université de Wuhan, ville de dix millions d'habitants située au centre de la Chine.
Exemplaires
Code-barres | Cote | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
A0760819768 | 700.1 CAY | Le Mesnil-Esnard | Documentaires | Disponible |